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LA Déclaration commune des trois partis et de l'organisation républicaine,

LA Déclaration commune des trois partis et de l'organisation républicaine,
Il faut entamer Les négociations en vue d'un accord global et durable.

LA Déclaration commune des trois partis et de l'organisation républicaine,

Avertissement pour empêcher d'actes de guerre,

Il faut entamer Les négociations en vue d'un accord global et durable.

Des efforts diplomatiques au cours des dernières semaines, discussion entre Macron et Trump sur le retrait américain de l’accord nucléaire, de la « pression maximale » sur l’Iran et le lancement d'une ligne de crédit de 15 milliards de dollars pour l'Iran", et l'éviction de John Bolton avant la réunion de l'Assemblée générale des Nations Unies, ont permis de baisse relativement la tensions entre la républiques islamique et L’administration de Trump. Mais les attaques sur l’installation pétrolière en Arabie saoudite par les DRONS et les missiles de croisière, résultant à la perturbation temporaire d'environ 50% de la production de pétrolière d’Aramco, équivalant à 2,3 millions de barils par jour, ont mis l’atmosphère de la guerre à la place des efforts diplomatiques, et ont tendu de manière croissante le danger de la guerre dans la région.

Les Houthis au Yémen ont revendiqué la responsabilité de l'attaque. Mais Vue de la répercussion exacte de la cible, la portée des missiles, la complexité de l’opération et le manque de capacité des Houthies, ont conduit les responsables saoudiens et américains, ainsi que les gouvernements allemand, britannique et français, de pointer le doigt vers la République islamique d’Iran.

Turki Al-Malki, le porte-parole du ministère saoudien de la Défense a déclaré que "Toutes les indications et les preuves opérationnelles dans l'évaluation initiale indiquent que les armes utilisées étaient des armes iraniennes et que l'équipement présenté constituait une preuve" indéniable "de l'agression iranienne contre ce pays". "Les attaques ont menacé non seulement la sécurité de l'Arabie saoudite, mais également la sécurité de l'énergie mondiale", a-t-il déclaré.

Le secrétaire d'Etat américain a accusé Téhéran de "acte de guerre" contre Riyad et le secrétaire américain à l'Énergie, Rick Perry, a déclaré qu'il s'agissait d'une attaque flagrante contre l'économie mondiale et les marchés pétroliers internationaux.

Mais la République islamique a démenti ces allégations, et a considérées comme une tentative de détourner l'attention de "l'invasion du Yémen par l'Arabie saoudite".

L’attaque contre les installations pétrolières de l’Arabie saoudite a modifié la situation dans la région et dans le monde par rapport à l’Iran, en renforçant la convergence de l’Europe et des États-Unis et en déclarant la nécessité d’un nouvel accord traitant simultanément des problèmes nucléaires, des missiles et des problèmes régionaux. Les nouvelles données ont mis la République islamique d’Iran dans un plus gros d'étranglement.

Le pétrole est l’artère vitale pour l'économie mondiale et l'économie de notre pays.

Depuis le retrait de L’administration Trump en 2017 de l’accord (Joint Comprehensive Plan of Action= Plan d'action global conjoint) sur la question nucléaire iranien signés par 6+1,(les Etats-Unis, la France, Allemagne, chine ,Russie, grande Bretagne et l’Iran) sous l’administration de Barak Obama, en 2015, Trump mène une politique de "la pression maximale" sur la République islamique d’Iran afin de réduire ses exportations de pétrole à zéro et d’empêcher la voie au transport maritime de pétrole de l’Iran. D’une part, ces actions ont causé beaucoup de souffrances à la population de notre pays et le paralysé de l’économie iranienne et d’autre part ont mis la République islamique d’Iran dans une situation extrêmement difficile.

Pour sortir de cette situation, le gouvernement Iranien est passé d’une politique de patience et d’attente à une politique agressive contrôlé et de nouvelle tactique, en reposant sur les capacités de ses alliés. Le fondement de la nouvelle tactique repose sur une escalade graduelle, prudente et d’endiguer des tensions et la pression exercée sur les États-Unis et leurs alliés dans la région.

Dans ses actions, La République islamique veut montrer à la communauté internationale, à l’administration Trump et aux pays de la région que si ses exportations du pétrole sont empêchées, elle entraverait les exportations d’autres pays exportateurs du pétrole de la région. Cette politique et tactique dite : le Pétrole contre le Pétrole. Soit l’administration Trump autorisera à l’exportation de pétrole iranien d’au moins750000 barils par jour ou bien l’Iran entravera l’exportation de pétrole de la région.

Le retrait injustifié de Trump de PAGC , ses sanctions économiques paralysante et sa politique de "la pression maximale" d’une part, et d’autre part, les propos provocateurs des commandants des Gardien, des actions aventureuses telles que l’attaque de drones américains et l'adoption de nouvelles tactiques ont accru la tension et le risque de la guerre. Bien que l’administration Trump envisage de planifier une attaque contre " des cibles potentielles en Iran", mais, cette dernière a décidé à l’heure actuelle d’augmenter les sanctions quantitativement et qualitativement, de renforcer les capacités de défense de l’Arabie saoudite et de renforcer ses défenses anti-aériennes en envoyant des troupes et du matériel militaire.

Bien que les responsables diplomatiques et militaires de la République islamique d’Iran ont également déclaré qu’ils ne souhaitaient pas une guerre, mais toute action militaire limitée contre l’Iran deviendrait une guerre globale.

Dans des circonstances aussi critiques, et à la veille de la réunion annuelle de l'Assemblée générale des Nations Unies, Ali Khamenei, le guide de la république islamique, a déclaré que l'objectif des négociations a pour but d'imposer les exigences américaines et de "prouver la pression maximum sur l'Iran". Il a ajouté également qu'il n'y aurait pas de "négociation" entre les autorités iraniennes et américaines, ni à New- York et ni ailleurs, jusqu'à ce que les États-Unis reviennent aux accords. Ali Khamenei avait précédemment déclaré qu'il n'y aura pas de guerre ni de négociations.

Aujourd’hui, il continue d’insister pour la non-négociation, mais s’intensifie les tensions.

L’atmosphère actuelle suggère que la perturbation de la route énergétique du golfe Persique et la répétition d’un incident similaire dans l’usine d’Aramco ne soient plus tolérées et reproduite. Mais le gouvernement américain et ses alliés régionaux s’engagent dans un conflit militaire limité avec la République islamique d’Iran. Mais celle-ci pourrait être enchaîné par des réactions réciproques et embraser le Moyen-Orient, dans un conflit dévastateur.

Ainsi, la persistance de tensions et la rhétorique sans fondement de la part du « valy faghie », le guide, et les commandants du Gardien dans le cadre d’une erreur de calcul pourraient donner un prétexte aux bellicistes américains et Israéliens d’engager notre pays dans une guerre dévastatrice, et finalement détruire les grandes industries et l’infrastructure de développement du pays.

Bien que l'origine de l'attaque n'ait pas encore été déterminée, mais les armes utilisées, le type d'opérations, les politiques et les déclarations des dirigeants gouvernementaux laisseraient de croire que la République islamique serait probablement à l'origine de l'attaque.

Nous, les trois courants politiques, considérons que l'attaque perpétrée par quiconque sur les installations pétrolières saoudiennes sont un acte de guerre et nous avertissons que de tels actes pourraient mettre le feu à la région et avoir des conséquences catastrophiques pour notre pays.

Nous pensons que le moyen de sortir de la situation actuelle est le retour du gouvernement américain à « PAGC », et le retenu de la République islamique dans son aventure nucléaire et la politique expansionniste régionale. Et il faut persuader les gouvernements iranien et américain de négocier sans condition préalable dans tous les domaines du conflit en vue de Parvenir à un accord global et durable dans le cadre des intérêts nationaux de l'Iran et des considérations légitimes de la communauté internationale.

L’Assemblée générale des Nations Unies est une bonne occasion d’entamer des négociations. Observer le cessez-le-feu au Yémen, entamer aux pourparlers de paix, mettre un terme aux bombardements et aux frappes militaires de la coalition saoudienne, et mettre un terme aux sabotages et aux attaques militaires des Houthis et de leurs alliés. Il est nécessaire à mettre fin à la guerre civile au Yémen comme l’un des facteurs de déstabilisation de la région.

Le Bureau politique-exécutif :

  • De l’Union des républicains d’Iran
  • Le parti de gauche d’Iran
  • La solidarité des républicains d’Iran.

Le 24 septembre 2019

 

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